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Physique spatiale | 2017-2018

L’Energetic Particle Telescope (EPT) a été lancé le 7 mai 2013 sur le satellite de l'ESA, PROBA-V, et mis sur une orbite polaire basse à 820 km d'altitude. Il fournit des observations depuis 5 ans.
Des scientifiques ont identifié un nouveau type de sursauts radio associés aux éruptions solaires: les sursauts ALF (bursts). Les observations des sursauts ALF fournissent des informations uniques sur les premiers stades des éruptions solaires et peuvent être utilisées à des fins de diagnostic et de pronostic.
La sonde Sweeping Langmuir Probe (SLP), développée à l’IASB, est l’un des deux instruments qui embarqueront à bord du CubeSat de l’ESA, PICASSO, en 2019. TLes objectifs principaux de SLP sont de mieux comprendre le couplage magnétosphère-ionosphère et les structures des aurores.
Les plasmas spatiaux sont essentiellement des systèmes sans collision hors équilibre thermique, où l'on observe des populations accrues de particules suprathermiques.
Le taux d’échappement atmosphérique pour une Terre hypothétique, mais non magnétisée, serait à peu près le même, voire un peu moindre, que pour la vraie Terre.
La multitude d’espèces de gaz neutres découvertes par ROSINA sur la comète 67P/Churyumov-Gerasimenko forme un zoo cométaire. Dans ce zoo, un « animal » particulier est resté insaisissable pendant longtemps: les substances halogénées.
Dans le cadre de la proposition pour la mission spatiale THOR, l’IRAP (Toulouse) et l’IASB ont mis au point l’appareil de mesure du vent solaire le plus rapide et le plus précis jamais conçu.
Le modèle dynamique tridimensionnel de la plasmasphère développé par l’IASB est désormais disponible sur le site Web SSA (Space Situational Awareness) de l'ESA.
Le consortium PECASUS est l’un des trois centres mondiaux de services de météorologie spatiale. Le groupe de météorologie spatiale de l’IASB sera chargé de la coordination des activités du groupe d’experts des rayonnementset de la fourniture d'un appui scientifique aux opérateurs en service.
Depuis 2010, l'IASB a développé le réseau BRAMS (stations belges de radios belges) afin de détecter et de caractériser les météoroïdes. Un système plus traditionnel de «rétrodiffusion», un radar météorite «interne», est actuellement construit au Centre de géophysique de Dourbes.